Les pirates et la rançon des attaques DDoS.

5/5 - (1 vote)

Les pirates et la rançon des attaques DDoS.

Les pirates rackettent sous peine d’attaques DDoS. Une chose est sûre, les attaques DDoS ont toujours la cote auprès des pirates qui viennent de trouver un moyen supplémentaire d’en tirer des profits avec les demandes de rançons.

Il ne faut pas se laisser abuser par ces procédés, estime Kaspersky qui assure que beaucoup de rançonneurs n’ont pas forcément les moyens de leurs ambitions.

Les pirates ont trouvé une nouvelle façon de tirer profit des attaques DDoS. En plus de vendre leurs services aux plus offrants via le darknet, ils se mettent à demander des rançons. D’après Kaspersky, qui vient de publier son rapport trimestriel sur le sujet, ce mode de fonctionnement n’est plus l’apanage des propagateurs de ransomwares. Les entreprises prenant la menace des attaques par déni de service très au sérieux, elles sont parfois prêtes à payer pour ne pas y être exposées. Les pirates envoient ainsi à leur cible des demandes de rançon, souvent accompagnées d’une courte attaque faisant office de démonstration, en menaçant de passer à la vitesse supérieure si le paiement n’était pas honoré. [Lire la suite dans LeMondeInformatique]
Le déni de service (DDoS) est une attaque malveillante visant à rendre un service indisponible pour les utilisateurs légitimes en submergeant le serveur ciblé avec un grand volume de trafic. Les attaquants exploitent souvent des réseaux de machines infectées par des logiciels malveillants, appelées botnets, pour coordonner ces attaques massives. Les conséquences du DDoS peuvent être graves, allant de la perturbation temporaire des services en ligne à des dommages financiers considérables pour les entreprises.

Pour se protéger contre de telles attaques par déni de service, les organisations doivent mettre en œuvre des solutions de détection et de mitigation efficaces ainsi que des plans de réponse aux incidents. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité de catégorie "Zero Day" ou l'absence de mises à jour automatiques.

A propos de l'auteur

Retour en haut