#38902
Nicolas Coolman
Maître des clés

L’argent, le commerce et la télévision ont bousillé la machine à faire rêver. Les grands acteurs meurent les uns après les autres… La société n’a plus besoin d’histoires comme « Autant en emporte le vent » ou « Vera Cruz ». Bientôt, il n’y aura plus que la télévision, le cinéma américain et quelques films d’auteurs, que des attardés iront déguster dans des salles improbables, sur des écrans à taille de timbre-poste.

Hélas, je partage cette triste réalité d’un cinéma en perdition qui fait passer la finance avant le rêve.

Nicolas Coolman

Retour en haut