A propos des produits IBM.

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    • #41306
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      A propos des produits IBM

      Vulnérabilité IBM Spectrum Symphony.

      Une vulnérabilité a été corrigée dans IBM Spectrum Symphony. Elle permet à un attaquant de provoquer un contournement de la politique de sécurité et une injection de code indirecte à distance (XSS). (Sources) 

      Bulletin de sécurité IBM du 01 mars 2023 (Sources)

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.

      Le code arbitraire est employé pour nommer, en parlant de piratage informatique, une action à faire faire à une machine sans que le propriétaire soit d'accord. Par exemple, en utilisant un exploit, le code arbitraire peut ouvrir une session super-utilisateur sur une machine distante, ou modifier une base de données, ou plus généralement donner accès à une information non disponible. Les pirates s'intéressent plus particulièrement aux vulnérabilités critiques des logiciels et des systèmes d'exploitation. Ces failles permettent généralement d'obtenir des droits d'administrateur afin d'autoriser l'exécution de code arbitraire à distance à l'insu des victimes. Ce sont particulièrement les failles de catégorie zero days qui sont ciblées en priorité du fait de leur absence de correctif.

      Le cross-site scripting (abrégé XSS), est un type de faille de sécurité des sites web permettant d'injecter du contenu dans une page, permettant ainsi de provoquer des actions sur les navigateurs web visitant la page. Les possibilités des XSS sont très larges puisque l'attaquant peut utiliser tous les langages pris en charge par le navigateur (JavaScript, Java, Flash...) et de nouvelles possibilités sont régulièrement découvertes notamment avec l'arrivée de nouvelles technologies comme HTML5. Il est par exemple possible de rediriger vers un autre site pour de l'hameçonnage ou encore de voler la session en récupérant les cookies. En exploitant les failles critiques Zero-Day, les cybercriminels lancent des attaques XSS dans le but d'insérer des scripts malveillants dans les sites internet. Les navigateurs sont incapables de distinguer l'origine des balises malwares de celles qui sont légitimes. Cette action donne aux pirates un accès complet aux informations confidentielles enregistrées par les internautes dans l'historique et les cookies de navigation.


      International Business Machines Corporation, connue sous le sigle IBM, est une société multinationale américaine présente dans les domaines du matériel informatique, du logiciel et des services informatiques. La société est née le 16 juin 1911 de la fusion de la Computing Scale Company et de la Tabulating Machine Company sous le nom de Computing Tabulating Recording Company (CTR). IBM réunit toutes les technologies et tous les services nécessaires, quelle que soit l'origine des solutions, pour aider les clients à résoudre leurs problèmes les plus urgents. Elle fournit aux clients un partenariat de confiance dans leur parcours vers la transformation numérique.

      Nicolas Coolman

    • #41319
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      IBM s’intéresse aux qubits de spin sur silicium pour ses calculateurs quantiques.

      En matière de calculateurs quantiques, IBM fait dans les relations libres. Engagé depuis plusieurs années dans la voie des qubits supraconducteurs, l’américain ne s’interdit pas quelques infidélités.(Sources)


      La physique Quantique est l'appellation générale d'un ensemble de théories physiques nées au XXᵉ siècle qui décrivent le comportement des atomes et des particules et permettent d'élucider certaines propriétés du rayonnement électromagnétique.

       

      Nicolas Coolman

    • #41347
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Multiples vulnérabilités dans les produits IBM.

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans les produits IBM. Elles permettent à un attaquant de provoquer un déni de service à distance et un contournement de la politique de sécurité. (Sources) 

      Bulletin de sécurité IBM 6960159 du 05 mars 2023

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.


      Les CERT (Computer Emergency Response Teams) sont des centres d'alerte et de réaction aux attaques informatiques, destinés aux entreprises ou aux administrations, mais dont les informations sont généralement accessibles à tous. Les tâches prioritaires d'un CERT sont multiples. La centralisation des demandes d'assistance à la suite des incidents de sécurité sur les réseaux et les systèmes d'informations. Le traitement des alertes et réaction aux attaques informatiques. L'établissement et maintenance d'une base de donnée des vulnérabilités. La Prévention par diffusion d'informations. La coordination éventuelle avec les autres entités.

      Nicolas Coolman

    • #41371
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Multiples vulnérabilités dans IBM WebSphere.

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans IBM WebSphere. Elles permettent à un attaquant de provoquer un déni de service à distance et un contournement de la politique de sécurité. (Sources)

      Bulletin de sécurité IBM 6962169 du 08 mars 2023.

      Une vulnérabilité de contournement des restrictions de sécurité dans Apache Shiro (CVE-2022-40664) et une vulnérabilité de déni de service dans Apache Commons File Upload (CVE-2023-24998) affectent IBM WebSphere Service Registry and Repository. (Sources)

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.

      Nicolas Coolman

    • #41450
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Multiples vulnérabilités dans les produits IBM

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans IBM. Elles permettent à un attaquant de provoquer un déni de service à distance, un contournement de la politique de sécurité, une exécution de code arbitraire à distance et une atteinte à la confidentialité des données. (Sources)

      Bulletin de sécurité IBM 6962773 du 10 mars 2023

      Le module http-cache-semantics de Node.js est vulnérable à un déni de service, causé par une faille de déni de service d’expression régulière (ReDoS). En envoyant une entrée regex spécialement conçue à l’aide de valeurs d’en-tête de requête, un attaquant distant pourrait exploiter cette vulnérabilité pour provoquer une condition de déni de service. (Sources)

      Le code arbitraire est employé pour nommer, en parlant de piratage informatique, une action à faire faire à une machine sans que le propriétaire soit d'accord. Par exemple, en utilisant un exploit, le code arbitraire peut ouvrir une session super-utilisateur sur une machine distante, ou modifier une base de données, ou plus généralement donner accès à une information non disponible. Les pirates s'intéressent plus particulièrement aux vulnérabilités critiques des logiciels et des systèmes d'exploitation. Ces failles permettent généralement d'obtenir des droits d'administrateur afin d'autoriser l'exécution de code arbitraire à distance à l'insu des victimes. Ce sont particulièrement les failles de catégorie zero days qui sont ciblées en priorité du fait de leur absence de correctif.

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.

      La confidentialité a été définie par l'Organisation internationale de normalisation comme « le fait de s'assurer que l'information n'est accessible qu'à ceux dont l'accès est autorisé », et est une des pierres angulaires de la sécurité de l'information. La confidentialité permet d'empêcher un accès non autorisé à des informations qui présentent un caractère sensible. Les intrusions dans les réseaux d'entreprise qui ne sont pas assez protégées, les négligences des personnes qui exposent des données non chiffrées, les niveaux insuffisants des contrôles d'accès sont autant de situations qui mettent en péril la confidentialité des données. De plus en plus de navigateurs, comme par exemple QWant et surtout Brave, se lancent dans une politique de confidentialité des données de navigation. Nul doute que l'utilisation d'un Réseau Privé Virtuel chiffré (VPN) et l'utilisation de données dans un cloud sécurisé améliorent la confidentialité et la sécurité des échanges.

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.

      Nicolas Coolman

    • #41457
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Multiples vulnérabilités dans IBM Sterling B2B Integrator.

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans IBM Sterling B2B Integrator. Certaines d’entre elles permettent à un attaquant de provoquer un contournement de la politique de sécurité, une atteinte à l’intégrité des données et une atteinte à la confidentialité des données. (Sources)

      Bulletin de sécurité IBM 6963093 du 13 mars 2023

      De manière générale, l'intégrité des données désigne l'état de données qui, lors de leur traitement, de leur conservation ou de leur transmission, ne subissent aucune altération ou destruction volontaire ou accidentelle, et conservent un format permettant leur utilisation. L'intégrité des données comprend quatre éléments : l'intégralité, la précision, l'exactitude/authenticité et la validité. L'intégrité est l'une des exigences de base de la sécurité informatique, de la gestion documentaire et de l'archivistique. L'intégrité physique concerne le matériel et les moyens mis en œuvre en matière de stockage, de sauvegarde et de récupération des données. L'intégrité logique se base sur la conservation des données relationnelles dans une base de données.

      La confidentialité a été définie par l'Organisation internationale de normalisation comme « le fait de s'assurer que l'information n'est accessible qu'à ceux dont l'accès est autorisé », et est une des pierres angulaires de la sécurité de l'information. La confidentialité permet d'empêcher un accès non autorisé à des informations qui présentent un caractère sensible. Les intrusions dans les réseaux d'entreprise qui ne sont pas assez protégées, les négligences des personnes qui exposent des données non chiffrées, les niveaux insuffisants des contrôles d'accès sont autant de situations qui mettent en péril la confidentialité des données. De plus en plus de navigateurs, comme par exemple QWant et surtout Brave, se lancent dans une politique de confidentialité des données de navigation. Nul doute que l'utilisation d'un Réseau Privé Virtuel chiffré (VPN) et l'utilisation de données dans un cloud sécurisé améliorent la confidentialité et la sécurité des échanges.

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.

      Nicolas Coolman

    • #41470
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Multiples vulnérabilités dans les produits IBM.

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans les produits IBM. Elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance, une injection de code indirecte à distance (XSS), une atteinte à la confidentialité des données, un contournement de la politique de sécurité et un déni de service à distance. (Sources)

      Bulletin de sécurité IBM 6955067 du 16 mars 2023

      Moment est vulnérable à un déni de service, causé par une complexité d’expression régulière inefficace. En envoyant une requête spécialement conçue, un attaquant distant pourrait exploiter cette vulnérabilité pour provoquer un déni de service. (Sources)

      La confidentialité a été définie par l'Organisation internationale de normalisation comme « le fait de s'assurer que l'information n'est accessible qu'à ceux dont l'accès est autorisé », et est une des pierres angulaires de la sécurité de l'information. La confidentialité permet d'empêcher un accès non autorisé à des informations qui présentent un caractère sensible. Les intrusions dans les réseaux d'entreprise qui ne sont pas assez protégées, les négligences des personnes qui exposent des données non chiffrées, les niveaux insuffisants des contrôles d'accès sont autant de situations qui mettent en péril la confidentialité des données. De plus en plus de navigateurs, comme par exemple QWant et surtout Brave, se lancent dans une politique de confidentialité des données de navigation. Nul doute que l'utilisation d'un Réseau Privé Virtuel chiffré (VPN) et l'utilisation de données dans un cloud sécurisé améliorent la confidentialité et la sécurité des échanges.

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.

      Le code arbitraire est employé pour nommer, en parlant de piratage informatique, une action à faire faire à une machine sans que le propriétaire soit d'accord. Par exemple, en utilisant un exploit, le code arbitraire peut ouvrir une session super-utilisateur sur une machine distante, ou modifier une base de données, ou plus généralement donner accès à une information non disponible. Les pirates s'intéressent plus particulièrement aux vulnérabilités critiques des logiciels et des systèmes d'exploitation. Ces failles permettent généralement d'obtenir des droits d'administrateur afin d'autoriser l'exécution de code arbitraire à distance à l'insu des victimes. Ce sont particulièrement les failles de catégorie zero days qui sont ciblées en priorité du fait de leur absence de correctif.

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.

      Nicolas Coolman

    • #41529
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Multiples vulnérabilités dans les produits IBM.

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans les produits IBM. Elles permettent à un attaquant de provoquer un contournement de la politique de sécurité, une élévation de privilèges, un déni de service à distance, une atteinte à la confidentialité des données, une injection de coe indirecte à distance (XSS) et une exécution de code arbitraire à distance. (Sources)

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.

      Une élévation des privilèges est, en informatique, un mécanisme permettant à un utilisateur d'obtenir des privilèges supérieurs à ceux qu'il a normalement. Généralement, un utilisateur va vouloir élever ses privilèges pour devenir administrateur du système, afin d'effectuer des tâches qu'il n'a pas le droit de faire en temps normal. Ce mécanisme est utile pour lancer des processus sensibles, pouvant nécessiter des compétences particulières en administration système : par exemple lors d'une manipulation des partitions d'un disque dur, ou lors du lancement d'un nouveau service. L'administrateur peut reconfigurer le système d'exploitation. Il peut gérer les autorisations d'accès au réseau. Il surveille le système, gère la sécurité et automatise certaines tâches. Toutes ces fonctions présentent un risque pour les systèmes infectés et une atteinte à la politique de sécurité.

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.

      La confidentialité a été définie par l'Organisation internationale de normalisation comme « le fait de s'assurer que l'information n'est accessible qu'à ceux dont l'accès est autorisé », et est une des pierres angulaires de la sécurité de l'information. La confidentialité permet d'empêcher un accès non autorisé à des informations qui présentent un caractère sensible. Les intrusions dans les réseaux d'entreprise qui ne sont pas assez protégées, les négligences des personnes qui exposent des données non chiffrées, les niveaux insuffisants des contrôles d'accès sont autant de situations qui mettent en péril la confidentialité des données. De plus en plus de navigateurs, comme par exemple QWant et surtout Brave, se lancent dans une politique de confidentialité des données de navigation. Nul doute que l'utilisation d'un Réseau Privé Virtuel chiffré (VPN) et l'utilisation de données dans un cloud sécurisé améliorent la confidentialité et la sécurité des échanges.

      Le cross-site scripting (abrégé XSS), est un type de faille de sécurité des sites web permettant d'injecter du contenu dans une page, permettant ainsi de provoquer des actions sur les navigateurs web visitant la page. Les possibilités des XSS sont très larges puisque l'attaquant peut utiliser tous les langages pris en charge par le navigateur (JavaScript, Java, Flash...) et de nouvelles possibilités sont régulièrement découvertes notamment avec l'arrivée de nouvelles technologies comme HTML5. Il est par exemple possible de rediriger vers un autre site pour de l'hameçonnage ou encore de voler la session en récupérant les cookies. En exploitant les failles critiques Zero-Day, les cybercriminels lancent des attaques XSS dans le but d'insérer des scripts malveillants dans les sites internet. Les navigateurs sont incapables de distinguer l'origine des balises malwares de celles qui sont légitimes. Cette action donne aux pirates un accès complet aux informations confidentielles enregistrées par les internautes dans l'historique et les cookies de navigation.

      Nicolas Coolman

    • #41539
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Bulletin de sécurité IBM du 24 mars 2023.

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans IBM Cognos. Elles permettent à un attaquant de provoquer un contournement de la politique de sécurité, un déni de service à distance et une exécution de code arbitraire à distance. (Sources)

      Bulletin de sécurité IBM 6965290 du 24 mars 2023

      Le code arbitraire est employé pour nommer, en parlant de piratage informatique, une action à faire faire à une machine sans que le propriétaire soit d'accord. Par exemple, en utilisant un exploit, le code arbitraire peut ouvrir une session super-utilisateur sur une machine distante, ou modifier une base de données, ou plus généralement donner accès à une information non disponible. Les pirates s'intéressent plus particulièrement aux vulnérabilités critiques des logiciels et des systèmes d'exploitation. Ces failles permettent généralement d'obtenir des droits d'administrateur afin d'autoriser l'exécution de code arbitraire à distance à l'insu des victimes. Ce sont particulièrement les failles de catégorie zero days qui sont ciblées en priorité du fait de leur absence de correctif.

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.

      Nicolas Coolman

    • #41595
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Bulletin de sécurité IBM 6980375 du 03 avril 2023

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans les produits IBM. Elles permettent à un attaquant de provoquer un problème de sécurité non spécifié par l’éditeur, un déni de service, une atteinte à la confidentialité des données, une atteinte à l’intégrité des données et un contournement de la politique de sécurité. (Sources)

      La confidentialité a été définie par l'Organisation internationale de normalisation comme « le fait de s'assurer que l'information n'est accessible qu'à ceux dont l'accès est autorisé », et est une des pierres angulaires de la sécurité de l'information. La confidentialité permet d'empêcher un accès non autorisé à des informations qui présentent un caractère sensible. Les intrusions dans les réseaux d'entreprise qui ne sont pas assez protégées, les négligences des personnes qui exposent des données non chiffrées, les niveaux insuffisants des contrôles d'accès sont autant de situations qui mettent en péril la confidentialité des données. De plus en plus de navigateurs, comme par exemple QWant et surtout Brave, se lancent dans une politique de confidentialité des données de navigation. Nul doute que l'utilisation d'un Réseau Privé Virtuel chiffré (VPN) et l'utilisation de données dans un cloud sécurisé améliorent la confidentialité et la sécurité des échanges.

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.

      De manière générale, l'intégrité des données désigne l'état de données qui, lors de leur traitement, de leur conservation ou de leur transmission, ne subissent aucune altération ou destruction volontaire ou accidentelle, et conservent un format permettant leur utilisation. L'intégrité des données comprend quatre éléments : l'intégralité, la précision, l'exactitude/authenticité et la validité. L'intégrité est l'une des exigences de base de la sécurité informatique, de la gestion documentaire et de l'archivistique. L'intégrité physique concerne le matériel et les moyens mis en œuvre en matière de stockage, de sauvegarde et de récupération des données. L'intégrité logique se base sur la conservation des données relationnelles dans une base de données.

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.


      Les CERT (Computer Emergency Response Teams) sont des centres d'alerte et de réaction aux attaques informatiques, destinés aux entreprises ou aux administrations, mais dont les informations sont généralement accessibles à tous. Les tâches prioritaires d'un CERT sont multiples. La centralisation des demandes d'assistance à la suite des incidents de sécurité sur les réseaux et les systèmes d'informations. Le traitement des alertes et réaction aux attaques informatiques. L'établissement et maintenance d'une base de donnée des vulnérabilités. La Prévention par diffusion d'informations. La coordination éventuelle avec les autres entités.

      Nicolas Coolman

    • #41608
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Bulletin de sécurité IBM du 03 avril 2023.

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans les produits IBM. Elles permettent à un attaquant de provoquer un problème de sécurité non spécifié par l’éditeur, un déni de service, une atteinte à la confidentialité des données, une atteinte à l’intégrité des données et un contournement de la politique de sécurité. (sources)

      La confidentialité a été définie par l'Organisation internationale de normalisation comme « le fait de s'assurer que l'information n'est accessible qu'à ceux dont l'accès est autorisé », et est une des pierres angulaires de la sécurité de l'information. La confidentialité permet d'empêcher un accès non autorisé à des informations qui présentent un caractère sensible. Les intrusions dans les réseaux d'entreprise qui ne sont pas assez protégées, les négligences des personnes qui exposent des données non chiffrées, les niveaux insuffisants des contrôles d'accès sont autant de situations qui mettent en péril la confidentialité des données. De plus en plus de navigateurs, comme par exemple QWant et surtout Brave, se lancent dans une politique de confidentialité des données de navigation. Nul doute que l'utilisation d'un Réseau Privé Virtuel chiffré (VPN) et l'utilisation de données dans un cloud sécurisé améliorent la confidentialité et la sécurité des échanges.

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.

      De manière générale, l'intégrité des données désigne l'état de données qui, lors de leur traitement, de leur conservation ou de leur transmission, ne subissent aucune altération ou destruction volontaire ou accidentelle, et conservent un format permettant leur utilisation. L'intégrité des données comprend quatre éléments : l'intégralité, la précision, l'exactitude/authenticité et la validité. L'intégrité est l'une des exigences de base de la sécurité informatique, de la gestion documentaire et de l'archivistique. L'intégrité physique concerne le matériel et les moyens mis en œuvre en matière de stockage, de sauvegarde et de récupération des données. L'intégrité logique se base sur la conservation des données relationnelles dans une base de données.

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.

      Nicolas Coolman

    • #41616
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Bulletin de sécurité IBM du 05 avril 2023.

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans les produits IBM. Elles permettent à un attaquant de provoquer une atteinte à la confidentialité des données et une exécution de code arbitraire à distance. (Sources)

      Le code arbitraire est employé pour nommer, en parlant de piratage informatique, une action à faire faire à une machine sans que le propriétaire soit d'accord. Par exemple, en utilisant un exploit, le code arbitraire peut ouvrir une session super-utilisateur sur une machine distante, ou modifier une base de données, ou plus généralement donner accès à une information non disponible. Les pirates s'intéressent plus particulièrement aux vulnérabilités critiques des logiciels et des systèmes d'exploitation. Ces failles permettent généralement d'obtenir des droits d'administrateur afin d'autoriser l'exécution de code arbitraire à distance à l'insu des victimes. Ce sont particulièrement les failles de catégorie zero days qui sont ciblées en priorité du fait de leur absence de correctif.

      La confidentialité a été définie par l'Organisation internationale de normalisation comme « le fait de s'assurer que l'information n'est accessible qu'à ceux dont l'accès est autorisé », et est une des pierres angulaires de la sécurité de l'information. La confidentialité permet d'empêcher un accès non autorisé à des informations qui présentent un caractère sensible. Les intrusions dans les réseaux d'entreprise qui ne sont pas assez protégées, les négligences des personnes qui exposent des données non chiffrées, les niveaux insuffisants des contrôles d'accès sont autant de situations qui mettent en péril la confidentialité des données. De plus en plus de navigateurs, comme par exemple QWant et surtout Brave, se lancent dans une politique de confidentialité des données de navigation. Nul doute que l'utilisation d'un Réseau Privé Virtuel chiffré (VPN) et l'utilisation de données dans un cloud sécurisé améliorent la confidentialité et la sécurité des échanges.


      Les CERT (Computer Emergency Response Teams) sont des centres d'alerte et de réaction aux attaques informatiques, destinés aux entreprises ou aux administrations, mais dont les informations sont généralement accessibles à tous. Les tâches prioritaires d'un CERT sont multiples. La centralisation des demandes d'assistance à la suite des incidents de sécurité sur les réseaux et les systèmes d'informations. Le traitement des alertes et réaction aux attaques informatiques. L'établissement et maintenance d'une base de donnée des vulnérabilités. La Prévention par diffusion d'informations. La coordination éventuelle avec les autres entités.

      Nicolas Coolman

    • #41671
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Bulletin de sécurité IBM du 12 avril 2023

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans IBM AIX. Elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire. (Sources)

      CVEID :   CVE-2023-26286.  IBM AIX pourrait permettre à un utilisateur local non privilégié d’exploiter une vulnérabilité dans la bibliothèque des services d’exécution AIX pour exécuter des commandes arbitraires. (Sources)

      Le code arbitraire est employé pour nommer, en parlant de piratage informatique, une action à faire faire à une machine sans que le propriétaire soit d'accord. Par exemple, en utilisant un exploit, le code arbitraire peut ouvrir une session super-utilisateur sur une machine distante, ou modifier une base de données, ou plus généralement donner accès à une information non disponible. Les pirates s'intéressent plus particulièrement aux vulnérabilités critiques des logiciels et des systèmes d'exploitation. Ces failles permettent généralement d'obtenir des droits d'administrateur afin d'autoriser l'exécution de code arbitraire à distance à l'insu des victimes. Ce sont particulièrement les failles de catégorie zero days qui sont ciblées en priorité du fait de leur absence de correctif.

      Nicolas Coolman

    • #41719
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Une croissance au ralenti pour IBM au T1 2023.

      Le dynamisme des ventes d’IBM a ralenti sur l’ensemble de ses activités entre janvier et mars derniers. Résultats, les revenus globaux du fournisseur n’ont connu qu’une hausse de 4,4 % à taux de change constant tandis que son bénéfice net baissait. (Sources)

       

      Nicolas Coolman

    • #41820
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Bulletin de sécurité IBM du 01 mai 2023.

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans IBM Db2. Elles permettent à un attaquant de provoquer un problème de sécurité non spécifié par l’éditeur et un déni de service à distance. (Sources)

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.

      Nicolas Coolman

    • #41853
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Bulletin de sécurité IBM du 05 mai 2023.

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans IBM. Elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance, un contournement de la politique de sécurité, une atteinte à la confidentialité des données, une élévation de privilèges, un déni de service à distance et une injection de code indirecte à distance (XSS). (Sources)

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.

      La confidentialité a été définie par l'Organisation internationale de normalisation comme « le fait de s'assurer que l'information n'est accessible qu'à ceux dont l'accès est autorisé », et est une des pierres angulaires de la sécurité de l'information. La confidentialité permet d'empêcher un accès non autorisé à des informations qui présentent un caractère sensible. Les intrusions dans les réseaux d'entreprise qui ne sont pas assez protégées, les négligences des personnes qui exposent des données non chiffrées, les niveaux insuffisants des contrôles d'accès sont autant de situations qui mettent en péril la confidentialité des données. De plus en plus de navigateurs, comme par exemple QWant et surtout Brave, se lancent dans une politique de confidentialité des données de navigation. Nul doute que l'utilisation d'un Réseau Privé Virtuel chiffré (VPN) et l'utilisation de données dans un cloud sécurisé améliorent la confidentialité et la sécurité des échanges.

      Une élévation des privilèges est, en informatique, un mécanisme permettant à un utilisateur d'obtenir des privilèges supérieurs à ceux qu'il a normalement. Généralement, un utilisateur va vouloir élever ses privilèges pour devenir administrateur du système, afin d'effectuer des tâches qu'il n'a pas le droit de faire en temps normal. Ce mécanisme est utile pour lancer des processus sensibles, pouvant nécessiter des compétences particulières en administration système : par exemple lors d'une manipulation des partitions d'un disque dur, ou lors du lancement d'un nouveau service. L'administrateur peut reconfigurer le système d'exploitation. Il peut gérer les autorisations d'accès au réseau. Il surveille le système, gère la sécurité et automatise certaines tâches. Toutes ces fonctions présentent un risque pour les systèmes infectés et une atteinte à la politique de sécurité.

      Nicolas Coolman

    • #41987
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Bulletin de sécurité IBM du 22 mai 2023

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans IBM. Elles permettent à un attaquant de provoquer une atteinte à la confidentialité des données et un déni de service à distance. (Sources)

      La confidentialité a été définie par l'Organisation internationale de normalisation comme « le fait de s'assurer que l'information n'est accessible qu'à ceux dont l'accès est autorisé », et est une des pierres angulaires de la sécurité de l'information. La confidentialité permet d'empêcher un accès non autorisé à des informations qui présentent un caractère sensible. Les intrusions dans les réseaux d'entreprise qui ne sont pas assez protégées, les négligences des personnes qui exposent des données non chiffrées, les niveaux insuffisants des contrôles d'accès sont autant de situations qui mettent en péril la confidentialité des données. De plus en plus de navigateurs, comme par exemple QWant et surtout Brave, se lancent dans une politique de confidentialité des données de navigation. Nul doute que l'utilisation d'un Réseau Privé Virtuel chiffré (VPN) et l'utilisation de données dans un cloud sécurisé améliorent la confidentialité et la sécurité des échanges.

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.

      Nicolas Coolman

    • #42037
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      Avis de sécurité IBM 6998763 du 26 mai 2023

      De multiples vulnérabilités ont été découvertes dans les produits IBM. Certaines d’entre elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance, un déni de service à distance et un contournement de la politique de sécurité. (Sources)

      Le code arbitraire est employé pour nommer, en parlant de piratage informatique, une action à faire faire à une machine sans que le propriétaire soit d'accord. Par exemple, en utilisant un exploit, le code arbitraire peut ouvrir une session super-utilisateur sur une machine distante, ou modifier une base de données, ou plus généralement donner accès à une information non disponible. Les pirates s'intéressent plus particulièrement aux vulnérabilités critiques des logiciels et des systèmes d'exploitation. Ces failles permettent généralement d'obtenir des droits d'administrateur afin d'autoriser l'exécution de code arbitraire à distance à l'insu des victimes. Ce sont particulièrement les failles de catégorie zero days qui sont ciblées en priorité du fait de leur absence de correctif.

      Une politique de sécurité informatique est un plan d'actions définies pour maintenir un certain niveau de sécurité. Elle reflète la vision stratégique de la direction de l'organisme (PME, PMI, industrie, administration, État, unions d'États…) en matière de sécurité informatique. Elle est liée à la sécurité de l'information. Elle définit les objectifs de sécurité des systèmes informatiques d'une organisation. Une politique de sécurité informatique est une stratégie visant à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise. Elle est matérialisée dans un document qui reprend l’ensemble des enjeux, objectifs, analyses, actions et procédures faisant parti de cette stratégie. La stratégie qui vise à maximiser la sécurité informatique d’une entreprise se matérialise par un document qui regroupe les objectifs, les enjeux et les actions qu'elle doit mettre en œuvre. En complément de la politique de sécurité informatique, les entreprises se dotent d'une charte informatique qui établie des recommandations spécifiques au niveau des technologies informatiques. Certaines cyberattaques réussissent en contournant ou diminuant les politiques de sécurité.

      Une attaque par déni de service (Denial Of Service attack, d’où l’abréviation DoS) est une attaque informatique ayant pour but de rendre indisponible un service, d’empêcher les utilisateurs légitimes d’un service de l’utiliser. Il peut s’agir de la perturbation des connexions entre deux machines, empêchant l’accès à un service particulier, de l’inondation d’un réseau afin d’empêcher son fonctionnement, de l’obstruction d’accès à un service à une personne en particulier, également le fait d’envoyer des milliards d’octets à une box internet. L’attaque par déni de service peut ainsi bloquer un serveur de fichiers, rendre impossible l’accès à un serveur web ou empêcher la distribution de courriel dans une entreprise. Ce mode d'attaque est largement utilisé par les pirates via des failles de sécurité "Zero Day" ou l'absence de mise à jour automatiques.


      Les CERT (Computer Emergency Response Teams) sont des centres d'alerte et de réaction aux attaques informatiques, destinés aux entreprises ou aux administrations, mais dont les informations sont généralement accessibles à tous. Les tâches prioritaires d'un CERT sont multiples. La centralisation des demandes d'assistance à la suite des incidents de sécurité sur les réseaux et les systèmes d'informations. Le traitement des alertes et réaction aux attaques informatiques. L'établissement et maintenance d'une base de donnée des vulnérabilités. La Prévention par diffusion d'informations. La coordination éventuelle avec les autres entités.

      Nicolas Coolman

    • #42117
      Nicolas Coolman
      Maître des clés

      IBM va ouvrir un datacenter quantique en Europe.

      Le groupe IBM rend public son intention d’inaugurer son premier datacenter quantique européen. C’est l’Allemagne, plus précisément Ehningen, qui va accueillir ce centre. Il sera doté de « plusieurs » systèmes équipés de processeurs quantiques de plus de 120 qubits.


      La physique Quantique est l'appellation générale d'un ensemble de théories physiques nées au XXᵉ siècle qui décrivent le comportement des atomes et des particules et permettent d'élucider certaines propriétés du rayonnement électromagnétique.

      Nicolas Coolman

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